« Ici, l’incertitude de la peinture. Là où les formes semblent tout à la fois naître et disparaître, s’imposer et se soustraire. Fixé dans l’espace. Et, sans qu’il soit besoin d’une alternance inscrite dans un égrènement de secondes, il y a donc comme un clignotement latent. Dans cette valse-hésitation se disputent le plein et le vide. La pulsation d’un cœur ? »
Matthieu de Sainte-Croix, chercheur, critique, écrivain